PI Services

Le blog des collaborateurs de PI Services

Création d’un groupe de ressource Cluster en Powershell

 

Vous souhaitez créer en ligne de commande un groupe de ressource Cluster.

Pour cela, il faut utiliser la ligne de commande suivante :

([wmiclass]"root\MSCluster:MSCluster_ResourceGroup").CreateGroup(“NomDuGroupe”, XXX)

Ou XXX représente l’identifiant du groupe de ressource que vous voulez créer.

Par exemple : pour créer un groupe de ressource Hyper-V réplica Broker, vous devez saisir l’ID 115 soit :

([wmiclass]"root\MSCluster:MSCluster_ResourceGroup").CreateGroup(“NomDuGroupe”, 115)

 

Maintenant, pour créer un groupe de ressource DHCP Cluster, l’identifiant correspondant est le 102 soit :

([wmiclass]"root\MSCluster:MSCluster_ResourceGroup").CreateGroup(“NomDuGroupe”, 102)

 

Ci-dessous, une capture d’écran qui vous donnera l’ID associé à un type de groupe de ressource Cluster.

 

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Changement du nom de machine dans le fichier Unattend depuis WinPE 5 en Powershell

 

Vous avez appliqué une image wim sur votre poste depuis WinPe et vous avez besoin de changer le nom de machine qui sera utilisé par la phase Specialize du Sysprep avant de rebooter la machine (pour sa prise en compte).

Charger le fichier xml situé dans le répertoire Windows\Panther dans une variable. (positionné ici après le travail de généralisation du Sysprep)

$xml="C:\Windows\Panther\unattend.xml"
[xml]$xml=get-content $xml

Ensuite via cette ligne de commande, saisissez le nom de votre Poste:

$xml.unattend.settings[1].component[1].computername="NomDuPoste"

(il se peut que dans votre fichier unattend, le noeud “computername” soit positionné ailleurs. Il vous faudra alors parcourir votre variable $xml et identifier ou se trouvera le nœud.)

Maintenant sauvegarder votre fichier XML avec la modification apportée.

$xml.save("C:\Windows\Panther\unattend.xml")

Maintenant lorsque vous redémarrerez votre poste, après la passe spécialize et oobe, le hostname du poste sera celui qui aura été renseigné dans la modification apporté dans le fichier xml.

Vérification de droits d’accès à une ressource en Powershell via wmi

 

Vous souhaitez contrôler l’accès à un fichier / répertoire en ligne de commande.

Pour cela, vous pouvez utiliser la classe Win32_Directory qui contient une méthode GetEffectivePermission. Celle ci permet de déterminer si le compte dispose des autorisations qui seront spécifiés dans notre commande.

 

Tout d’abord, récupérer le répertoire (pour l’exemple) que vous désirez contrôler.

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En regardant maintenant les propriétés via la commande (gwmi Win32_directory -filter "name = 'c:\\temp'") |gm , on peut voir l’accès à la méthode GetEffectivePermission.

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Nous voulons contrôler si l’utilisateur courant dispose des droits d’accès en écriture sur le répertoire c:\temp.

Pour cela, il faut saisir la valeur décimale 2 pour la méthode GetEffectivePermission.

Si l’utilisateur à les droits en écriture sur cette ressource, la commande nous renverra True. Dans le cas contraire, la commande nous renverra False.

Exemple :

(gwmi Win32_directory -filter "name = 'c:\\temp'").GetEffectivePermission(X)

X correspondant au droit contrôlé.

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L’utilisateur peut donc accéder en écriture dans le répertoire.

 

Ci dessous un tableau contenant les valeurs à indiquer à la fonction GetEffectivePermission() pour le contrôle d’un droit spécifique

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Hyper-V et NetApp – Retour d’expérience

Introduction

Dans le cadre d’une migration de stockage, j’ai été amené à utiliser différents outils de NetApp (SnapDrive, SnapManager…).

Dans ce billet je ferai une brève présentation des différents outils utilisés ainsi que mon retour d’expérience quant à l’utilisation de ces derniers.

Environnement

L’environnement source se compose de différents serveurs Hyper-V (sous Windows Server 2008 R2 SP1 et Windows Server 2012). Toutes les machines virtuelles se trouvent sur un stockage en local.

Dans un souci de PRA / PCA, l’environnement cible se composera de différentes baies NetApp réparties sur deux sites différents. Les machines virtuelles sont donc basculées du stockage local au stockage sur la baie.

Les baies NetApp serviront également de sauvegarde.

Outils

Différents outils NetApp sont utilisés dans l’environnement cible.

SnapDrive est l’outil qui permet d’interagir entre le système d’exploitation et la baie de stockage. Il peut ainsi générer des snapshots consistants du point de vue du système d’exploitation en s’appuyant sur des fonctionnalités telles que VSS.

SnapManager for Hyper-V (SMHV) permet de réaliser des snapshots des machines virtuelles hébergées par les hosters.

OnCommand permet de gérer le stockage des baies.

Retour d’expérience

 

Installation et migration

L’installation et la configuration des outils sur les serveurs Hyper-V se font simplement. L’attachement des volumes sur la baie se fait via SnapDrive.

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La migration des machines virtuelles sur la baie se font ensuite grâce à la fonctionnalité Live Migration d’Hyper-V (pour plus d’informations sur la Live Migration suivre ce lien http://technet.microsoft.com/en-us/library/jj134199.aspx).

Mise en place des sauvegardes

La mise en place des sauvegardes se fait en via SMHV. On associe des règles à l’hyperviseur pour les sauvegardes.

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Les sauvegardes via NetApp se font de deux façon différentes : application consistent et le crash consistent.

L’application consistent utilise VSS au niveau de la VM afin d’assurer une consistance au niveau application. A l’inverse le crash consistent utilise VSS au niveau du hoster. Il n’y a donc pas de consistance au niveau applicatif.

N.B : Les sauvegardes de types application consistent ne fonctionnent pas avec des machines virtuelles possédant des bases de données (cela inclut également les contrôleurs de domaine). Pour ces VMs les sauvegardes seront faites qu’en crash consistent, ce qui réduit les possibilités au niveau restauration (restauration à chaud impossible par exemple). Il peut-être alors intéressant de mettre en place système de sauvegarde différents en parallèle afin d’avoir plus de fonctionnalités en cas de restauration.

L’intégration de SnapManager for Hyper-V avec OnCommand se fait uniquement ligne de commande via SnapDrive.

Cette intégration permet par exemple, la gestion automatique des sauvegardes. Dans le cas rencontré, une fois les sauvegardes effectuées une copie des données est envoyée sur la baie du site distant.

 

Conclusion

La mise en place des outils NetApp sur les serveurs Hyper-V est rapide. Les bascules des machines virtuelles du stockage local vers la baie de stockage s’avèrent beaucoup plus longues (cela dépend de la taille de la VM bien entendu). Il faut compter 30 minutes pour l’installation des outils NetApp et 15 minutes pour la migration d’une VM faisant une centaine giga-octets.

N.B : Ces estimations peuvent variées en fonction de l’environnement (vitesse des disques, temps de redémarrage des serveurs…).

La migration des VMs peut se faire à chaud via la Live Migration, ainsi la production n’est pas impactée.

Les sauvegardes des VMs sont faites assez rapidement (les sauvegardes sont uniquement basées sur le delta entre la dernière sauvegarde et l’état actuel de la VM). Une sauvegarde d’une dizaine de machines prend une dizaine de minutes en application consistent et prend quelques minutes (1-2 minutes) en crash consistent.

La réplication de la baie principale à la seconde baie prend du temps lors de la première réplication (cette initialisation doit être faite en ligne de commande sur le contrôleur de la seconde baie).

N.B : Dans le cadre du projet, cette étape s’est faite avec les baies sur le même site pour augmenter la vitesse de copie (environ 20 minutes pour 100 Go de données). Une fois les baies sur les différents sites la vitesse sera plus lente (le lien réseau entre les sites n’étant pas du gigabyte) mais les données à transférer seront moindre (delta uniquement).

Les restaurations peuvent se faire à chaud (sauvegarde de type application consistent uniquement) sur le même hoster ou en récupérant les fichiers (sur le même hoster ou un hoster différent).

Exchange 2010 – Problème de mot de passe avec certains Smartphones

Problématique

Sur certains smartphones (BlackBerry et Windows Phone) lors de la connexion à une boite mail Exchange 2010 (via ActiveSync) le mot de passe est demandé alors qu’il est enregistré.

Une resynchronisation de la BAL sans indiquer le mot de passe suffit au smartphone pour se reconnecter.

Contexte

L’architecture en place lors du problème se compose de plusieurs serveurs Exchange 2010 (plusieurs serveurs CAS/HUB, plusieurs MBX en DAG) et de deux serveurs TMG 2010 pour la publication des flux.

Après avoir fait des traces sur TMG, l’erreur suivante est présente à chaque demande de mot de passe :

  • Log Type : Web Proxy (Forward)
  • Status : 10054 An existing connection was forcibly closed by the remote host.

Solution

Le problème provient de TMG. En effet ce dernier possède un timeout sur la session ActiveSync entre le Smartphone et Exchange.

Pour résoudre ce problème il faut changer un paramètre dans TMG. Depuis la console TMG faites un clic droit sur le listener qui publie ActiveSync, ensuite dans Properties, Forms tab, Advanced décochez la case “apply session timeout to non-browser client” (http://technet.microsoft.com/en-us/library/cc995246.aspx).

Orchestrator– Scom: Correlation et “Nettoyage” d’alertes

 

L’interaction Orchestrator-Scom est intéressante sous réserve d’introduire dans les runbooks concernés un peu de corrélation afin de ne pas générer trop d’alerte et de pouvoir les clôturer automatiquement.

L’exemple ci-dessous est un peu limité. En effet:

1/ Le runbook ne détecte pas si une alerte précédente est présente.

2/ Il ne prévoit pas de cas OK associé a une fermeture automatique de l’alerte potentiellement générée avant. (sous réserve que l’on veuille cette clôture automatique) Clignement d'œil

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Ajoutons a ce runbook quelques éléments:

 

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Si le programme sort OK (Exit = 0) , le nœud “Get Not Closed Alert” cherche les alertes précédemment générées et toujours dans un état autre que Closed, puis si une plusieurs alerte sont trouvées, le nœud Close Alert les clôtures.

Si le programme sort KO (Exit <> 0), le nœud “Get Not Closed Alert” cherche les alertes précédemment générées. Si une alerte est présente, inutile d’en générer une autre pour le même problème, sinon elle est crée par le nœud Create Alerte.

L’idéal, serait dans le second cas d’incrémenter le champ Repeat count de l’alerte existante mais on attends que l’Integration Pack de SCOM intègre cette possibilité dans une prochaine version  Clignement d'œil.

Orchestrator – Script: Ressources utilisées par un runbook

 

Il n’est pas possible directement dans la console Orchestrator de faire le lien entre une instance de runbook et son process policymodule.exe.

Pour cela il faut faire le lien entre le PID du job effectivement en cours d’exécution, dans la base Orchestrator et le PID du process apparent dans le gestionnaire de tache.

Le script suivant prend en paramètre le nom du runbook.

Il est nécessaire de modifier le nom de l’instance SQL ($SQLServer)

Le script renvoi la mémoire (Private Working Set (Ko)) car cette info est particulièrement intéressante mais d’autre compteur peuvent bien sur être récupérés.

 

 

Param( #[parameter(Mandatory=$true)] [string]$Runbook ) $Global:Runbook = $args[0] $Scriptname = "getRunbookJobPid" $SQLServer = "" $SQLDBName = "Orchestrator" $SQLTempDB= "Temp_$Runbook"+"_$Scriptname" #FUNCTIONS function GetProcessInfoById { param ([int]$processId) Get-WmiObject -class Win32_PerfFormattedData_PerfProc_Process | where-object {$_.idprocess -eq $processId} | select ` @{Name="Process Id"; Expression = {$_.idprocess}},` @{Name="Private Working Set (Ko)"; Expression = {$_.workingSetPrivate / 1kb}} } #END_FUNCTIONS $SqlQuery = " SELECT MAX(DATEADD(HOUR,2,TimeStarted)) as TimeStart ,ProcessID as ProcessId ,Name as Name ,j.Status as Jstatus ,RI.status as RIStatus INTO $SQLTempDB FROM [Orchestrator].[dbo].[POLICYINSTANCES] as p WITH (NOLOCK) inner join [Orchestrator].[Microsoft.SystemCenter.Orchestrator.Runtime].[Jobs] as j on j.id=p.JobId inner join [Orchestrator].[Microsoft.SystemCenter.Orchestrator].[Runbooks] as R on R.Id=j.RunbookId inner join [Orchestrator].[Microsoft.SystemCenter.Orchestrator.Runtime].RunbookInstances as RI on RI.RunbookId=R.Id WHERE RI.status = 'InProgress' AND j.Status = 'Running' AND R.Name = '$Runbook' GROUP BY TimeStarted ,ProcessID ,Name ,j.Status ,RI.status DECLARE @MaxDate DateTime SET @MaxDate = (SELECT MAX(TimeStart) FROM $SQLTempDB) SELECT ProcessId from $SQLTempDB WHERE TimeStart = @MaxDate DROP TABLE $SQLTempDB" if (-not($Runbook)) { throw "Nom du runbook requis" } $SqlConnection = New-Object System.Data.SqlClient.SqlConnection $SqlConnection.ConnectionString = "Server = $SQLServer; Database = $SQLDBName; Integrated Security = True" $SqlCmd = New-Object System.Data.SqlClient.SqlCommand $SqlCmd.CommandText = $SqlQuery $SqlCmd.Connection = $SqlConnection $SqlAdapter = New-Object System.Data.SqlClient.SqlDataAdapter $SqlAdapter.SelectCommand = $SqlCmd $DataSet = New-Object System.Data.DataSet $SqlAdapter.Fill($DataSet) $SqlConnection.Close() #clear $ProcessId= $DataSet.Tables[0] | Select-Object -Property ProcessId -ExpandProperty ProcessId write-host "RUNBOOK: $Runbook" GetProcessInfoById $ProcessId | fl

Orchestrator – Problème d’affichage de runbook

 

Dans certains cas un runbook nouvellement crée peux ne pas apparaitre dans la console Web ou dans les applications tierces recevant le nom du runbook (SCOM – SCSM).

Pour débuguer ce problème:

- Ouvrez SQL Management Studio et connectez vous a l’instance de la base Orchestrator.

- Exécutez la requête suivante:

Use Orchestrator

TRUNCATE TABLE
[Microsoft.SystemCenter.Orchestrator.Internal].AuthorizationCache

- Rafraichissez l’affichage de la console Web pour faire apparaitre le runbook

 

Pour automatiser la réponse a ce problème, vous pouvez automatiser via un job sql l’exécution de la requête suivante afin de forcer un vidage du cache des autorisations:

Use Orchestrator

EXEC [Microsoft.SystemCenter.Orchestrator.Maintenance].EnqueueRecurrentTask ‘ClearAuthorizationCache’

Office 2013 - Personnalisation du ruban d’Outlook via GPO

Contexte

Suite au déploiement de Lync Server 2013, certains clients souhaitent améliorer la visibilité du produit au sein d’Outlook en rajoutant une icône dans la page d’accueil Outlook (par défaut pour créer une réunion Lync, il faut aller dans la partie calendrier).

Problématique

Cette personnalisation d’Outlook n’existe pas dans les modèles d’administration / personnalisation  d’Office (http://www.microsoft.com/en-us/download/details.aspx?id=35554). Cependant il est possible de déployer ce paramètre par GPO.

Solution

N.B : Cette solution a été testée sous Outlook 2010 et 2013.

Lors de la personnalisation du ruban d’Outlook ce dernier créer le fichier olkexplorer.officeUI. Ce fichier se trouve à l’emplacement suivant :

  • Sous Windows XP : %Userprofile%\Local Settings\Application Data\Microsoft\Office\
  • Sous Windows 7/8/8.1 :  %userprofile%\AppData\Local\Microsoft\Office\

Il suffit alors de personnaliser le ruban depuis un poste et de récupérer le fichier olkexplorer.officeUI.

Le déploiement du fichier se fait ensuite via un script lancé au démarrage du poste via GPO.

1 ver | find /i "version 5.1." > nul 2 if %errorlevel%==0 (goto xp) else (goto seven) 3 4 :xp 5 copy \\SERVEUR\Partage\Scripts\WinXP\olkexplorer.officeUI "%Userprofile%\Local Settings\Application Data\Microsoft\Office\" 6 goto logxp 7 8 :seven 9 robocopy /s /e \\SERVEUR\Partage\Scripts\Win7\ %Userprofile%\AppData\Local\Microsoft\Office\ 10 goto logseven 11 12 :logxp 13 FOR /F "usebackq" %%i IN (`hostname`) DO SET MYVAR=%%i 14 if exist "%Userprofile%\Local Settings\Application Data\Microsoft\Office\olkexplorer.officeUI" (goto OKXP) else (goto KOXP) 15 16 :OKXP 17 echo %date% -- Custom Office OK >> \\SERVEUR\Partage\LOG\result.%MYVAR%.txt 18 goto end 19 20 :KOXP 21 echo %date% -- Custom Office FAILED >> \\SERVEUR\Partage\LOG\result.%MYVAR%.txt 22 goto end 23 24 :logseven 25 FOR /F "usebackq" %%i IN (`hostname`) DO SET MYVAR=%%i 26 if exist %Userprofile%\AppData\Local\Microsoft\Office\olkexplorer.officeUI (goto OKSEVEN) else (goto KOSEVEN) 27 28 :OKSEVEN 29 echo %date% -- Custom Office OK >> \\SERVEUR\Partage\LOG\result.%MYVAR%.txt 30 goto end 31 32 :KOSEVEN 33 echo %date% -- Custom Office FAILED >> \\SERVEUR\Partage\LOG\result.%MYVAR%.txt 34 goto end 35 36 :end 37 38

Avant :2014-06-18_172950

Après : 2014-06-18_173159

SCOM 2012 – Faire fonctionner l’enregistrement de session de navigation Web dans Internet Explorer 10 et 11

 

Si l’on s’en fie à Technet, ( http://technet.microsoft.com/en-us/library/hh457546.aspx ), l’utilisation d’IE 10 (et par extension IE 11) n’est pas supportée pour réaliser l’enregistrement d’une session de navigation Web dans SCOM.

Un test rapide le confirme : le plugin Web Recorder ne se charge pas.

On pourrait croire qu’il s’agit du problème bien connu de compatibilité du plugin avec IE x86/x64 (http://social.technet.microsoft.com/wiki/contents/articles/1307.scom-howto-use-the-webrecorder-on-windows-64bit.aspx), mais il n’en est rien…

Fort heureusement, il reste possible de faire fonctionner l’enregistrement dans IE 10 et 11 moyennant quelques ajustements.

Dans Internet Explorer, ouvrir le menu Outils > Options Internet, onglet Avancé.
Vérifier que les cases Activer les extensions tierce partie du navigateur (Enable third party browser extensions) et Activer le mode protégé amélioré (Enable Enhanced Protected Mode) sont cochées et les cocher si elles ne le sont pas.

clip_image002

Quitter IE et ouvrir l’éditeur de registre regedit.

Naviguer jusqu'à la clé de registre suivante : HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Internet Explorer\Main
Ajouter une entrée de type DWORD nommée TabProcGrowth et lui donner la valeur 0

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Puis naviguer jusqu’à la clé HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer\Discardable\PostSetup\Component Categories64\
Supprimer les deux sous-clés {00021493-0000-0000-C000-000000000046} et {00021494-0000-0000-C000-000000000046} . Ces clés correspondent à un cache d’information concernant le plugin WebRecorder, les supprimer force donc IE à remettre en cache ces informations.

Redémarrer l’ordinateur sur lequel est effectuée la capture si des modifications ont été apportées aux paramétrages avancés d’Internet Explorer.

Relancer une capture depuis SCOM. Au lancement d’IE, la barre apparait :

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Alternativement, un prompt d’activation du plugin peut apparaitre au lancement d’IE (accepter l’activation) et il peut être nécessaire d’afficher la barre Web Recorder via le menu Affichage > Volets d’Exploration.